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Tout public

Les Outragés

Au royaume d’Ithaque, le roi Ulysse, absent depuis des années, est en effet parti combattre à Troie avec ses hommes d’élite. Depuis son expédition guerrière, son épouse, la reine Pénélope, a assuré la régence, élevant seule leur fils, Télémaque, et prenant soin du père de son époux, Laërte, qui vient de décéder. Mais les principaux sujets du royaume, convaincus de la mort d’Ulysse, prétendent désormais obtenir la main de Pénélope afin de siéger sur le trône vacant. Ne craignant pas les dieux et violant la loi sacrée de l’hospitalité, les prétendants assiègent le palais royal. Pénélope et Télémaque, se sacrifiant pour leur peuple et espérant contre tout espérance le retour d’Ulysse, subissent avec dignité leurs outrages. Le royaume étant menacé par la famine, Pénélope se voit contrainte de choisir le successeur de son époux, sous peine d’une guerre civile. Les jeunes de la cité, menés par Télémaque, refusent toutefois de se soumettre et décident de se rebeller. Recherchés activement par les prétendants, ils ont trouvé refuge dans les bois…

Chiffonnes victimes

Rencontres probables et improbables dans un magain de vêtements. Un paradis pour des femmes. Un peu moins pour les autres.

Elvis

Deux hommes, une femme, cachés dans un hangar, à l’abri des autres.
Il est difficile de dire avec honnêteté pourquoi l’on écrit ceci plutôt que cela. peut-être est-ce le souvenir d’un homme à demi couché sur un carton, la prise de conscience qu’il suffirait de peu de choses pour glisser sur cette pente terrible vers l’autre côté du monde.
Ensuite faire vivre ces êtres, leur trouver une voix, un corps, tenter de les rendre concrets, humains, drôles et de mauvaise foi, avec un socle de colère plus ou moins enfoui, un tremplin plus ou moins haut et puissant pour fuir cette réalité.
Avant, ils ont eu une vie sociale, une enfance, des parents, des collègues de travail, des amis, des amours, un chien, un toit. Un toi. un moi.

Goulwena

Après s’être séparé de Soaz avec qui il a vécu de belles années de vie commune, Alexis est resté quelque temps seul.
Le hasard lui a fait rencontrer Goulwena d’une façon très inopportune. C’est en renversant maladroitement son verre de Coca sur son chemisier qu’il l’a vue pour la première fois. D’ailleurs Goulwena lui avait mis en pleine tête sa gaufre au chocolat pour lui exprimer sa colère, puis était partie immédiatement. Ils ne se connaissaient même pas. Juste un coup du destin.
Plus rien maintenant ne peut plus les séparer ces deux-là. Ils s’entendent si bien ! Ils s’aiment.
Aujourd’hui, depuis presque deux heures Alexis essaie vainement de joindre Goulwena sur son téléphone portable. Habituellement, elle répond immédiatement ou rappelle très rapidement.
Entre le samedi fin de matinée et le dimanche matin, voici la lente descente aux enfers d’Alexis. Il va décou-vrir, progressivement, que Goulwena ne donne plus signe de vie. Elle a été kidnappée. Etait-elle au mauvais endroit, au mauvais moment. Sa ressemblance avec une autre jeune femme en est-elle la cause. L’objet du crime supposé : une ran-çon ? L’anéantissement, la stupeur puis l’horreur pour quel dénouement ?
Le noir absolu. Betty, Katell et Jef sont là. Ses vrais amis. Quand le malheur est là, le doute s’installe aussi. Faut-il vraiment avoir une confiance aveugle en ses amis ? Une commissaire très stricte et un maire très mal à l’aise et malhabile sont là pour soutenir Alexis. Chacun selon son métier.
Alexis ira jusque dans la salle au contact du public pour lui communiquer sa détresse au travers de la photo de Goulwena, sa belle aimée.

Elvis

Il est difficile de dire avec honnêteté et précision pourquoi l’on écrit cela plutôt que ceci. Peut-être est le souvenir d’un homme à demi couché sur un carton écrasé, la prise de conscience qu’il suffirait de peu de choses pour glisser sur la pente terrible vers l’autre côté du monde. Sans doute est-ce un mélange de tout cela qui a constitué le départ et l’envie d’écrire cette pièce.
Ensuite, s’y atteler, faire vivre ces êtres inconnus, leur trouver un corps, une voix, tenter de les rendre concrets, humains, drôles et de mauvaise foi, avec un socle de colère plus ou moins enfoui, un tremplin plus ou moins haut et puissant pour fuir cette réalité.
Avant, ils ont eu une vie sociale, une enfance, des parents, des collègues de travail, des amis, des amours, un chien, un toit. Un toi. Un moi.

Doliprane

Vous êtes les bienvenus dans un monde où tout le monde a mal à la tête. Heureusement, on peut prendre du Doliprane pour se soigner. Mais le médicament a un effet secondaire inattendu…il donne mal à la tête !

Drôle de commissariat

Le commissaire Bedet dirige son commissariat avec la trouille de sa hiérarchie. Il déteste que quelque chose perturbe son quotidien…
Pas de chance aujourd’hui car des événements abracadabrantesques vont débouler au point de lui faire péter les plombs.
Tout commence avec Monsieur Zonec, brigadier-chef qui vient d’arriver dans le commissariat pour sa nouvelle affectation. Personne ne le sait mais en réalité c’est un usurpateur d’identité et ça ne va donc pas être triste pour gérer les affaires courantes…
D’ailleurs, à propos de courantes, aujourd’hui, c’est de mise pour lui…
Il n’y aura donc ce jour pas une minute de répit pour ce pauvre commissaire Bedet. C’est une catastrophe.

Crise d’otage avec rançon

S’ils avaient su qu’elle serait si enquiquinante et si incontrôlable, ils ne l’auraient pas prise en otage.
Michu, Gertrude, de son prénom, pense, en fait participer à un jeu-cadeau de son mari pour son anniversaire.
Il s’agit en réalité d’un inextricable quiproquo, puisqu’ils se sont tout simplement trompés de personne lorsqu’ils ont fait leur kidnapping.
Il y a Félix, celui qui apparaît être le chef de bande accompagné de Sandy sa toute nouvelle compagne dans la vie et trop heureuse de participer aux côtés de son nouveau mec à quelque chose de bien.
Alfred, quant à lui, il ne semble pas tout à fait fini car il ne fait rien de ce qu’il faut comme il faut. Heureusement ou malheureusement pour lui, sa femme, Elodea, le suit et le guide. Du moins elle fait ce qu’elle peut car de toute évi-dence, le métier de preneuse d’otage ne sera jamais sa spécialité.
Comment tout cela peut-il se terminer ?
Il se pourrait bien que tout cela se termine de la façon la plus étrange qui soit. Mais pour cela il faut attendre la toute dernière minute pour le comprendre.

Changement de propriétaire

Clément, est le nouveau propriétaire de cet hôtel qu’il a entièrement rénové et qui s’appelait autrefois « L’Auberge du Caramel ».
A la demande de sa mère et pour lui faire plaisir, il a décidé d’inviter, juste avant l’ouverture officielle, les anciennes collègues de celle-ci. De plus, le hasard fait que ça tombe le jour de l’anniversaire de cette maman !
Sœur Elodea saura-t-elle résister au charme du nouveau patron ? Rien n’est moins sûr…
Quant aux autres invités, s’ils pensaient bien connaître Nathalie, auparavant mère supérieure d’une congrégation mais aussi mère de Clément, ils vont aller de surprise en surprise jusqu’à la dernière ligne de la pièce.
Quant à Natouille… la nouvelle intendante… Elle est vraiment nouvelle dans le métier et il n’est pas sûr que Clément ait fait une belle affaire en l’embauchant… Elle a beaucoup de progrès à faire pour bien maîtriser son job.

Les gérontes et le petit fils du sage voyant

Nous sommes en plein milieu d’une guerre sans merci, atroce et sanglante. Le sage voyant dort à proximité de son protégé petit fils qui venait de perdre son père. Traitreusement étranglé par les mains d’un groupuscule de sanguinaires, activant en secret dans quelques pays limitrophes. Au-delà des frontières, ils guettent la délivrance à l’intérieur. Un cessez-le-feu pour perpétrer l’assaut funeste et accaparer le butin de guerre. Sans ;état d’âme, ils trucident tous ceux et toutes celles qui prétendent faire barrage à leurs vils caprices. Leur dessin, clairement obscur, leur miséricorde sans clémence ni cœur, s’emparer du trône à tout prix, afin de sévir sous prétexte de servir.

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