Cap sur ALTAÏR
Au XXVe siècle, dès la découverte de la propulsion luminique, un vaisseau spatial, Le Colonia, emportant 626 jeunes gens (moitié hommes et femmes et de toutes origines ethniques) + un androïde, s’enfonce dans l’espace pour un voyage de 17 ans vers la constellation de l’Aigle et, plus précisément, le système de l’étoile Altaïr. Malgré le foisonnement d’exoplanètes repérées depuis la Terre, le voyage reste hasardeux, et ceux qui y participent n’ont aucune assurance d’y trouver une planète d’accueil. Après 22 mois de voyage (1/8ᵉ), la période des doutes s’installe et les restrictions imposées à bord commencent à se faire pesantes. L’usage d’appareils hypnotiques sensés réguler les comportements ne semble plus suffisant. Une révolte gronde. Certains militent pour un retour sur terre. Le capitaine a bien du mal à garder le contrôle et franchira la ligne rouge pour garder le cap sur Altaïr.
Deux fins sont proposées, au choix de la troupe ou du metteur en scène.
Cette pièce pourrait intéresser un club de théâtre d’un lycée où il y aurait un brassage de différentes origines ethniques. Il y a de l’action à la fin avec la mutinerie, de la figuration, beaucoup de rôles sont interchangeables. Les scènes de la soirée dansante ou des deux conférences peuvent faire participer beaucoup de personnes, créant des vocations à l’expression théâtrale.
Bon voyage.