3 femmes

Etre ou ne pas naître

Trois poussins qui viennent de naître découvrent le monde et plus
particulièrement un kiwi qu’ils prennent pour un oeuf : il s’ensuit une discussion
plus ou moins maîtrisée sur le sens de la vie, le racisme et la mort…

Miroirs de nos angoisses

MIROIRS DE NOS ANGOISSES traite des ambiguïtés que la société des adultes entretient avec les jeunes
Trois comédiennes endossent les personnages de mères, de pédagogues, de psys, de conseillères d’éducation, de sous-ministres, dans une société où la compétition est de mise, illustrant les stéréotypes d’adultes en proie à la peur de cette jeunesse qui leur échappe.
Procédant par vignettes entrecoupées de paroles de sociologues, philosophes, psychologues, le spectacle traite de crise d’adolescence, de notion d’engagement, d’orientation, d’autonomie, d’éducation, de lecture…
Avec humour et tendresse, le texte nous incite à la réflexion. C’est l’occasion de se demander ce que nous voulons faire avec et pour notre jeunesse.
Miroirs de nos angoisses concerne toutes les générations et amène à rire et échanger avec nos ados, à prendre du recul.

scènes en cuisine

Dispute entre deux soeurs sur les conquêtes des luttes des femmes, en présence de leur mère qui a aussi son mot à dire sur la question

Femmes de lettres…

Deux commères, gardiennes d’immeubles, n’ont rien trouvé de mieux pour s’occuper, que de lire le courrier des locataires… A tour de rôle, elles se réunissent chez l’une et l’autre, et ensemble, prennent connaissance de nouvelles, parfois croustillantes. Cela les amuse, jusqu’à ce que l’une d’elles, tombe par hasard, sur une lettre adressée à l’autre. Et là, rien ne va plus !…

Pour le permis, tout est permmis.

Réunis à un arrêt de bus paumé, un inspecteur du permis, un candidat au permis et le maire du village. Quand une grève surprise des bus vient perturber l’emploi du temps de nos trois personnages, il suffit, pour remédier aux aléas, d’un peu de dialogue et d’entraide. Enfin… A vrai dire, pas seulement… Quelques petits arrangements peu orthodoxes ne sont pas superflus.

SERIAL qui LEURRE.

Faux polar !
On vient de retrouver un nouveau chariot de supermarché jeté à l’eau sur la côte bretonne. Le commandant Castagnou enquête, flanqué de l’agent Leguennec.
Tout doit un long moment laisser penser au public qu’un véritable cadavre git sur le rivage…

Ghazal

Ghazal (Conversation avec une femme) est au croisement d’une écriture de l’intime, de matières mémorielles autour des histoires d’Ebtesam, Lena et Afraa.

Ces trois femmes sont syriennes et vivent en France. L’autrice, également anthropologue, et sa sœur, réalisatrice documentaire, les ont rencontrées en Picardie et à Paris. Trois femmes portent leurs histoires au plateau, ouvrent un espace d’écoute – sous l’angle de la sororité – autour du principe de la violence qui déracine, de la guerre en l’occurrence, et des mouvements divers que cela convoque – révolte, critique sociale, dévoilements de discours dominants, amitié et solidarité qui font monde.

Le texte est un tissage de ces voix multiples, par le filtre d’une expérience subjective, qui nous racontent la mémoire quand elle se confronte à l’Histoire, pour déplacer nos perceptions entre Je, Nous et Elles.

Appel d’air

Un meurtre conduit Julia, jeune rebelle tout juste majeure, en prison ; mais ni les murs gris et froids, ni la présence insidieuse de sa codétenue Karine ne suffisent à estomper l’empreinte d’une atmosphère familiale bourgeoise et suffocante, où le silence du père est comblé en fanfare par les déferlements d’amour et d’attentions d’une mère ivrogne. Au fil des jours et des visites maternelles, les mots se délient, un à un, lentement et en puissance, et arrachent douloureusement les masques que le temps a écorchés.

ASSURE & RASSURE

Les journées se suivent et se ressemblent chez « Assure & Rassure »
cabinet d’assurance où travaillent Mélanie, la gérante, pieuse mère de
famille, Alix, la révoltée lanceuse d’alertes et enfin la douce et spirituelle
Tatiana.
Un jour de grande chaleur, la climatisation fait des siennes…sans compter l’irruption d’un agriculteur floué

Redoutables

Très amies dans la vie, trois comédiennes apprennent le soir de leur dernière repré­sentation la trahison de leur metteur en scène : le film qui doit se monter, adapté de leur pièce, se fera sans elles ! Ce film qui leur promettait enfin la gloire ! Dans la grande loge, c’est l’incompréhension totale.
Bien sûr, elles s’adorent, mais… chacune veut sauver sa peau…

Dans une mise en scène de Jean-Luc Moreau, nos trois comédiennes s’en donnent à cœur joie pour un spectacle acide et hilarant !

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