3 femmes - 3 hommes

Fake News de comptoir

Au comptoir de l’unique bistrot d’un village dépeuplé par l’exode rural, pour échapper à leur destin mortifère, patrons et clients inventent pour blaguer de fausses nouvelles… dont certaines pourraient être des prophéties autoréalisatrices.

Une comédie politique mordante qui explore l’ère de la désinformation, le déclin du débat démocratique et la manipulation des masses par les médias et les réseaux sociaux.

Lilie est partie

Lilie est partie est l’histoire d’un jeu : au milieu du bric-à-brac d’un vieux grenier, une petite fille, Lilie, joue avec sa poupée, Sophie-Sophie. Par ce jeu, parfois tendre, parfois cruel, où elle met en scène parents, amis, maîtresse, etc., se racontent les rêves, les peurs, les révoltes de la petite fille, tout ce qu’elle n’a pas pu dire, tout ce que les adultes n’ont pas su voir. Et peu à peu se révèlent les secrets…

Quel Cinéma!

Le tournage de ce trop long métrage pour certains, se passe au plus mal.
Star caractérielle, conditions de tournage catastrophique, pression du producteur. Tout concorde pour une bonne crise de rires. On attend avec impatience la sortie de ce film qui se voudrait si sérieux. Raté car la comédie prend inexorablement le dessus.

Un monde dingue !

Bérangère est femme de ménage chez les Darras. Elle a profité de leur absence d’une semaine pour mettre à leur insu une annonce de location de leur superbe demeure proche d’Avignon et ainsi, espère-t-elle, récolter une belle somme d’argent.
Souhaitant assister au festival d’Avignon, c’est une troupe de théâtre amateur d’Arras (tiens tiens…) férue de comédies, qui a répondu à cette annonce. Venu en « éclaireur », le premier de la troupe à se présenter est Patrice, un joyeux drille qui ne peut s’empêcher de faire des jeux de mots, rarement d’une grande finesse.
Malheureusement pour Bérangère, Archibald Darras, dramaturge et metteur en scène professionnel qui ne jure que par les tragédies, fait un retour inattendu, après avoir déposé son épouse Maud à l’aéroport. Il a invité chez lui pour la soirée (au moins…) Bérénice, une jeune et charmante étudiante en théâtre, qui aimerait décrocher un rôle dans une de ses pièces…
Pour pimenter le tout, l’avion de Maud a été annulé et elle débarque chez elle à l’improviste pour y passer la nuit…
Si ce n’était que cela ! Ce serait oublier Tony, le petit ami de Bérénice, une brute épaisse, qui fait lui aussi une apparition… fracassante !
Pour s’en sortir, Bérangère ou Archibald n’ont alors qu’une seule issue : mentir… Oui, mais un mensonge en entraîne fréquemment d’autres, souvent plus énormes que les précédents.
Tous les ingrédients sont en tous les cas réunis pour que les quiproquos se succèdent sans discontinuer !

L’ordigratteur

Marco, commercial en télétravail, finalise le contrat de sa vie sur son ordinateur. Sa femme Delphine a son cabinet de psychologue dans l’appartement conjugal. Elle prépare l’assassinat de son mari avec l’aide de son amant. Mais l’ordinateur tombe en panne et tout va basculer. Car il enferme des choses inavouables, révélées par un patient obsédé qui invite sans le savoir la maîtresse de Marco au domicile du couple.
L’ordigratteur est le personnage central de la pièce. Ses puces démangent méchamment quand les circonstances sont réunies, pour peu qu’on gratte légèrement la surface.

La marquise et l’héritage

Dans un château, monsieur le Marquis est à court d’argent, et la Marquise refuse de lui accorder quelques sous. Heureusement, la visite d’une tante richissime est annoncée.

Charges

Charges est une pièce courte qui brosse un fragment de vie de deux jeunes femmes chargées de rêves à Budapest. Szilvia Deák, hongroise, aborde le sujet de la précarité et celui de la difficulté de se loger dans une capitale européenne.

L’art et les manières

Sketchs sur la culture, ceux qui en manquent, ceux qui en on trop, et ceux qui n’en peuvent plus

Télé-sketches. Vol. 14. 7 sketches

Jean Legeay a longtemps écrit pour la télévision. Dans la série Télé-sketches, il livre ses sketches interprétés par les plus grands au cours des émissions « La Classe » et « Bouvard du rire. »

La marquise et le sans-culotte

Au 18ème siècle, un sans-culotte veut faire la loi au château. Afin de ne pas être inquiétés, les propriétaires échangent leurs costumes avec leurs personnel

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