4 femmes - 5 hommes

Fake News de comptoir

Au comptoir de l’unique bistrot d’un village dépeuplé par l’exode rural, pour échapper à leur destin mortifère, patrons et clients inventent pour blaguer de fausses nouvelles… dont certaines pourraient être des prophéties autoréalisatrices.

Une comédie politique mordante qui explore l’ère de la désinformation, le déclin du débat démocratique et la manipulation des masses par les médias et les réseaux sociaux.

Les enfants de l’espace

Un couple d’adultes parle à leurs deux enfants (Un garçon et une fille). Ils entrent ensemble sur la scène. Les parents sont habillés, prêts à sortir. Les enfants auront une visite inattendue.

Dans le cadre de la renaissance

Un duc inquiet pour l’avenir de son duché insiste auprès de son fils afin qu’il prenne femme. Ce dernier part et revient avec une bergère qu’il trouve à son goût accompagnée d’une brebis, d’un ramoneur et d’un couple de paysans.
Oui, mais voilà, la bergère bêle car une sorcière lui a jeté un sort et c’est sa brebis qui doit traduire ses propos ; le Duc ne veut pas entendre parler de cette mésalliance avec une gueuse ; la Duchesse voudrait bien que le ramoneur vienne s’occuper de son alcôve ; la paysanne s’avère être une sorcière et pour ajouter à la confusion, un ménestrel très agaçant commente les faits en improvisant sur sa cithare des chants de circonstance. (Parodies de chansons connues.)

Ciel, quelle agence !

Une agence de voyage classique où se morfondent le directeur Jean-Pierre
et sa secrétaire Martine. Pour tromper l’ennui, ils décident de vendre des voyages dans
l’espace à leurs clients. Ceux-ci ne semblent pas trop regardants sur les prix ni sur les
descriptifs fantaisistes. Heureusement, les extra-terrestres veillent…

Les Deux Guitares

Il était une fois deux guitares qui, comme les humains ne le savent pas, possédaient notre langage. Elles attendaient l’accomplissement de leur destinée dans un magasin de musique. L’une, Princesse, belle mais vaniteuse, avait la certitude que son avenir était tout tracé. Seul un virtuose caresserait ses cordes en argent poli. Il ne pourrait en être autrement. L’autre, Pauvrette, faite de bois de caisse, subissait régulièrement les moqueries de Princesse tout en espérant discrètement qu’un enfant peu fortuné devienne son meilleur ami. Malgré son handicap, elle lui donnerait le meilleur d’elle-même. Cette histoire montrera que la patience et la modestie valent mieux que l’orgueil et la méchanceté et que la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Cette pièce en deux actes peut être jouée avec très peu de décors.

Rendez Chouki

Chouki, le chien de Pamela Smool a disparu. Pamela est sens dessus dessous, son entourage aussi.

LA VIEiellesse n’EST pas UN LONG FLEUVE TRANQUILLE.

IRENE et BERNARD sont retraités et hébergent SIMONE la sœur d’Irène, qui a perdu la raison suite à un grave et très ancien accident de la route (Tiens… Encore un ?).
Pour rompre la monotonie du quotidien et aussi améliorer leur budget, ils ont décidé d’accueillir une jeune étudiante dans leur grand logement.
Le rideau s’ouvre bien sûr le jour de l’arrivée de la jeune et jolie Florence (FLO), accompagnée de ses deux parents, ROSE et THIERRY.
C’est banal hein mon histoire ?
Ouais… Mais…
– Pourquoi FLO saute-telle au cou de BERNARD qu’elle n’a encore jamais vu ?
– Pourquoi THIERRY est-il quasi certain d’avoir déjà rencontré BERNARD ?
– Pourquoi HENRIETTE, l’amie et voisine, pense-t-elle avoir déjà vu FLO ?
– Pourquoi SIMONE, habituellement déjà bien à côté de ses pompes, s’obstine-t-elle à vouloir aujourd’hui ressusciter des fantômes ?
– Pourquoi n’accorde-t-on pas plus de crédit aux conseils perspicaces de GERMAINE, la pittoresque concierge (pardon… Gardienne d’immeuble) ?
– Pourquoi FLO et NATHAN (fils d’Henriette) semblent-ils aussi vite très familiers ?
– Pourquoi ROSE est-elle à 1000 lieues de ce qui va lui être révélé ?
Mais les deux vraies questions sont :
– Notre sympathique BERNARD est-il aussi naïf qu’il n’y paraît ?
– FLO est-elle une étudiante tout à fait quelconque proposée par une agence immobilière spécialisée, comme le prétend BERNARD ?

Pauvre IRENE au milieu de tout ce cirque !
Inspirée du film dont elle détourne un peu le titre, je vous emmène dans une comédie aux personnages drôles et touchants.
Vous me suivez ?

Du flouze, du blé, de l’oseille et des thunes.

Imaginez : une paisible agence bancaire… Tiens, près de chez vous !
– “Monsieur Albert“, un riche et vieux client courtisé par les deux employées. D’autant plus courtisé qu’il apporte dans son caddy une fortune qu’il vient de gagner (dit-il) en jouant au PMU.
– Ginette, une vieille, peu fortunée mais très futée, qui entre à son tour et surveille avec attention le comptage des liasses qui sortent du caddy.
– Johnny, Laura et Gabriel qui font irruption, armés et masqués dans la banque.
(Libre choix : masques de Johnny, Halloween ou simples cagoules)
– Laetitia, jeune femme de banlieue convoquée au sujet de son découvert, qui entre à son tour.
– La directrice d’agence, peu aimée de son personnel, que l’on va extirper de son bureau.
Et bien voilà ! Reste plus qu’à piquer le flouze, le blé, l’oseille et les thunes et à se tirer et en moins d’un acte, la comédie est bouclée ! Ouais… Sauf que…
– Sauf que Johnny déclenche l’alarme par erreur,
– Sauf qu’un nouveau commissariat vient d’être inauguré à 200m et que les flics débarquent illico,
– Sauf que Ginette a été la “nounou“ de Laura, l’un des trois gangsters,
– Sauf que Laetitia et Johnny se plaisent bien,
– Sauf que Johnny, fan inconditionnel du vrai Johnny, trimballe sur lui l’original d’une photo inestimable et volée de son idole,
– Sauf que “monsieur Albert“ dévoile un passé douteux et que, fort de son expérience, il prend en mains la suite des opérations,
– Sauf que la directrice, les temps sont durs, a déjà opéré quelques “emprunts“ dans les coffres,
– Sauf que Le policier qui vient négocier reconnaît en “monsieur Albert“ le fameux “Bébert l’arnaqueur“, gangster présumé rangé des voitures,
– Sauf que la recette du champ de courses voisin vient d’être dérobée selon la méthode “Bébert“,
– Sauf que les deux employées profitent de la situation pour se venger de leur supérieure tyrannique,
– Sauf que la directrice refuse, malgré sa hiérarchie, de partir comme otage avec Johnny,
– Sauf que Laetitia, elle, elle demande que ça,
– Sauf que le caddy d’Albert et celui de Ginette ont le même fabricant,
– Sauf que la retraite de la police, eh ben… C’est pas le nirvana,
– Sauf que quand tu croques dans la pomme, et que tu te prénommes Adam, t’as beau être flic…
Bref, trois actes ne seront pas de trop !

Le trou de la sécu

Cette comédie permet de se pencher avec humour sur notre conception occidentale (et française surtout) de la santé et sur le système de soins en place. Si ça peut aider à faire bouger un peu… Mais choisissons d’abord ici d’en rire à pleins poumons, c’est si bon pour la santé !
Le Dr Pierre Sacrin, médecin généraliste, et Gisèle Trobio, naturopathe, partagent la même salle d’attente et la même secrétaire. Ils ne partagent d’ailleurs rien d’autre : conception de la santé, méthodes de soins, agendas, durées de consultations, tarifs, conventionnement sécu… Tout les sépare.
Dans ce contexte, la salle d’attente va-t-elle pouvoir rester un terrain neutre bien longtemps ?
Pas certains du tout… Surtout lorsque les patients, à peine plus équilibrés que les comptes de la sécu, prennent un malin plaisir à jeter de l’huile sur le feu…
Allez, venez consulter vous aussi… C’est la sécu qui paie !
Note de l’auteur : il conviendra au fil du temps d’actualiser certaines informations ou certains passages de cette comédie écrite en 2014.

Derrière les fagots.

Vous connaissez point la ferme de la Grande Goulotte ?
Chez les Pigeonneau, Auguste et Elise Pigeonneau qu’ils s’appellent, on fait dans la qualité.
Point d’aliments « trangénisses », pas forcément du bio non plus, mais hum…des saveurs, et des sauces…
Et en plus, l’Elise a la ben heureuse idée d’offrir à ses invités un spectacle. Un spectacle du terroir lui aussi, avec des gens comme vous croirez point qu’il en existe encore. C’est ben simple, rien qu’à y penser, me v’là à causer comme eux…
J’dois quand même vous prév’nir, avant qu’on arrive, que des fois le spectacle se déroule point tout à fait comme on voudrait…
Mais bon, je vous promets un de ces p’tits dimanches de « derrière les fagots » !

Succès garanti si vous adaptez (un peu ? beaucoup ?) en patois ou langue régionale.
Amis Berrichons, Savoyards, Franc-Comtois, Wallons, Vaudois… Lâchez-vous !

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