5 femmes - 2 hommes

Fausse baronne mais vraie g…

Lucie ne porte pas dans son cœur sa belle-sœur Ludivine, une bêcheuse de première classe, or celle-ci s’annonce inopinément dans la retraite de Lucie. Marie et Rémy se coaliseront pour faire descendre la “baronne” de son piédestal. Gags et situations comiques sont au rendez-vous pour rire et se détendre.

Fake News de comptoir

Au comptoir de l’unique bistrot d’un village dépeuplé par l’exode rural, pour échapper à leur destin mortifère, patrons et clients inventent pour blaguer de fausses nouvelles… dont certaines pourraient être des prophéties autoréalisatrices.

Une comédie politique mordante qui explore l’ère de la désinformation, le déclin du débat démocratique et la manipulation des masses par les médias et les réseaux sociaux.

Il était un petit navire

Six personnages mystérieux sont bloqués sur une île par une grève de ferry. Ils ont tous une bonne raison pour vouloir regagner le continent au plus vite. Ils embarquent sur un bateau de pêche piloté par un passeur improvisé. Mais le prix à payer pour cette traversée sera plus élevé que prévu… Une fable humoristique sur les travers de notre société.

Crise et Châtiment

Un comédien au chômage, recruté par une banque en faillite, découvre qu’il a été engagé pour faire office de bouc émissaire. Mais le cauchemar ne fait que commencer…
Crise et Châtiment est une comédie satirique qui, entre humour noir et critique sociale, plonge dans l’univers des dérives du système financier et de la précarisation du travail, dressant un portrait aussi hilarant qu’effrayant d’un monde où l’injustice est institutionnalisée.

Une Erreur quelque part

Evidemment, les patientes d’une clinique de rajeunissement n’espèrent qu’une chose : rajeunir. Si peu que le résultat soit positif, elles en tirent déjà satisfaction. Mais, dans la clinique qui nous concerne, le résultat dépassera les espérances. Le progrès sera tel que, à cause d’une “erreur quelque part”, le docteur lui-même n’arrivera plus à le freiner…

Moi, c’est toi

Des personnages en quête d’amour confient leur destin à un ordinateur. Conséquences : des situations cocasses où l’on ne sait plus bien qui est qui. Emilie se fait passer pour Clara, Lionel pour Julien… Ajoutez-y une mère quelque peu envahissante qui se fait passer pour sa fille, avec un mari volage… Comment se retrouver au milieu de ces scénarios inventés, de ces quiproquos pimentés. L’auteur se joue des amours contrariés par des mensonges répétés jusqu’au triomphe des amours réconciliés. Une pièce au ton alerte et drôle qui déroule devant nous le destin de tous ceux qui se cherchent.

Rendez-vous au square

Dans un square, des personnages farfelus ou inattendus se croisent, se parlent, se fâchent ou s’apprécient au gré des rencontres.

On ne veut pas d’homme dans cette maison

Après un veuvage ou des déboires conjugaux, Amélie, Marlène et Léa, trois
soeurs, ont décidé d’habiter ensemble la maison familiale. Les charges étant
difficiles à supporter, elles décident de prendre des locataires avec une seule
restriction : qu’ils ne soient pas des hommes. Se fiant à leurs prénoms, Léa a
signé un bail à Camille et Louison, mais quand ceux-ci se présentent, force est
de constater qu’ils sont bien des spécimens masculins. Dès lors, Amélie et
Marlène s’efforceront par tous les moyens d’empêcher leurs locataires de
s’installer sereinement. Quand, en plus, dans le quartier, a lieu un cambriolage
qui oblige tout le monde à se cloîtrer tandis que se présentent une troisième
locataire ainsi que le lieutenant de police chargé de l’enquête, l’affaire se
complique et nos deux locataires mâles ne vont pas tarder à s’en apercevoir.

Divers gens.

un groupe de randonneurs découvre sur un sentier côtier un chariot de supermarché à demi-immergé (mer, lac, étang…). Objet désuet, sujet insolite, œuvre artistique… Les avis divergent autant que les centres d’intérêt et les caractères de chacun.

On ne veut pas d’hommes dans cette maison

Après un veuvage ou des déboires conjugaux, Amélie, Marlène et Léa, trois sœurs, ont décidé d’habiter ensemble la maison familiale. Les charges étant difficiles à supporter, elles décident de prendre des locataires avec une seule restriction : qu’ils ne soient pas des hommes. Se fiant à leurs prénoms, Léa a signé un bail à Camille et Louison, mais quand ceux-ci se présentent, force est de constater qu’ils sont bien des spécimens masculins. Dès lors, Amélie et Marlène s’efforceront par tous les moyens d’empêcher leurs locataires de s’installer sereinement. Quand, en plus, dans le quartier, a lieu un cambriolage qui oblige tout le monde à se cloîtrer tandis que se présentent une troisième locataire ainsi que le lieutenant de police chargé de l’enquête, l’affaire se complique et nos deux locataires mâles ne vont pas tarder à s’en apercevoir.

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