Ah! notre belle famille
Assistez à une réunion de famille à l’occasion des 100 ans du patriarche entre conflits familiaux et règlement de compte.
Assistez à une réunion de famille à l’occasion des 100 ans du patriarche entre conflits familiaux et règlement de compte.
Se retrouver au delà des océans.
Jeanne d’Arc en Ciel vient d’être adoubée chevalière et est prête à combattre et à bouter les Anglais hors de France, elle est accompagnée d’un troubadour qui doit vanter ses aventures héroïques. Ils se retrouvent dans un château pendant une trêve en attendant que Jeanne parte guerroyer. Dans cette période de guerres que nous vivons je me suis demandé comment il était possible qu’une jeune femme puisse vouloir s’enrôler comme combattante dans une armée et être prête à tuer et à se faire tuer au nom de Dieu. C’est ce cheminement vers l’enrôlement de cette chevalière qui est proposé dans cette pièce où elle rencontrera tant des combattants que des victimes de la guerre de cent ans, des personnels hospitaliers et des profiteurs de guerre, des nobles et des gueux. Ces rencontres l’amèneront à réfléchir sur son engagement.
Un jeune homme égaré, qui doit se rendre à un rendez-vous important
rue Saunière, demande son chemin à un homme âgé qui ne répond pas à sa
question, mais l’égare un peu plus par ses digressions sur le temps, la vie, la
jeunesse, l’âge, la douleur et la mort…
L’auteur
Canicule.
Sur un lit d’hôpital, un homme attend.
Vengeance ou pardon ?
2 familles vont s’affronter.
1940. Trois officiers de l’armée française et un prêtre, profitant de la débâcle et de l’exode, choisissent de disparaître pour mener une vie de reclus littéraires dans une demeure isolée. Menés par le capitaine Rangueil, portés disparus ou présumés morts, les protagonistes s’enfoncent peu à peu dans une impasse… et le ridicule
L’action se passe entre décembre 1940 et mars 41 à Saint-Ursanne, en Suisse, dans une demeure appelée la Douvrière.
Au XXVe siècle, dès la découverte de la propulsion luminique, un vaisseau spatial, Le Colonia, emportant 626 jeunes gens (moitié hommes et femmes et de toutes origines ethniques) + un androïde, s’enfonce dans l’espace pour un voyage de 17 ans vers la constellation de l’Aigle et, plus précisément, le système de l’étoile Altaïr. Malgré le foisonnement d’exoplanètes repérées depuis la Terre, le voyage reste hasardeux, et ceux qui y participent n’ont aucune assurance d’y trouver une planète d’accueil. Après 22 mois de voyage (1/8ᵉ), la période des doutes s’installe et les restrictions imposées à bord commencent à se faire pesantes. L’usage d’appareils hypnotiques sensés réguler les comportements ne semble plus suffisant. Une révolte gronde. Certains militent pour un retour sur terre. Le capitaine a bien du mal à garder le contrôle et franchira la ligne rouge pour garder le cap sur Altaïr.
Deux fins sont proposées, au choix de la troupe ou du metteur en scène.
Cette pièce pourrait intéresser un club de théâtre d’un lycée où il y aurait un brassage de différentes origines ethniques. Il y a de l’action à la fin avec la mutinerie, de la figuration, beaucoup de rôles sont interchangeables. Les scènes de la soirée dansante ou des deux conférences peuvent faire participer beaucoup de personnes, créant des vocations à l’expression théâtrale.
Bon voyage.
Charges est une pièce courte qui brosse un fragment de vie de deux jeunes femmes chargées de rêves à Budapest. Szilvia Deák, hongroise, aborde le sujet de la précarité et celui de la difficulté de se loger dans une capitale européenne.
« 235 coups de compas dans le corps de papa. Et le dernier coup, dans l’œil. Tu l’avais jamais eu papa, le compas dans l’œil, et bien maintenant, tu l’as, je te l’ai enfoncé dans le crâne, et pour longtemps. » Voici comment commence Le Compas dans l’œil !
Paul est coupable, face aux jurés, face aux hommes, face à Dieu, d’avoir tué son père. Mais il est libre, tellement libre qu’il ne peut plus se censurer, ses souvenirs et ses repères vont revenir, durant son procès, comme une ré(s)urgence.
Première boum, première télévision, première communion, les vacances à la ferme et leur insoutenable secret, la rencontre avec un vieux prof de français grincheux qui lui ouvre les portes du théâtre. Paul, entre rires et larmes, joue au funambule sur le fil de sa mémoire. Il s’accroche au vide comme s’y accrochent les nuages pour s’envoler dans une liberté légère et joyeuse.
Trente dialogues imaginés entre des personnages historiques dont on sait qu’ils se sont rencontrés lors de circonstances précises.